it's about, capturing a moment, an emotion, or a truth.

<< La perfection est un détail, mais la perfection n'est pas un détail. >>

Je me baladais... je ne sais où, à vraie dire. Le vent fouettait ma crinière rebelle. Mes pattes martelaient le sol où milles caillots rentraient et s’enfonçaient dans mes coussinets. Cela me faisait assez mal; mais je me contentais de sourire bêtement, gardant toujours une allure cool en toute circonstance. J'étais sortis prendre l'air, mais je m'étais aventurer un peu trop loin. Le soleil tapait fort sur mon dos et il faisait chaud. Si je voyais un point d'eau, je ne dirais pas non pour m'arrêter et y boire un coup. Je décidai de faire une pause. Je m'asseyais et je du plisser les yeux pour mieux percevoir l'horizon. Le sol fissuré me laissait croire à un séisme et que j'allais tomber au plus profond de l'enfer. Je laissais tomber cette idée de ma tête et essayait de penser à autre chose. Il était bien trop tard pour faire demi-tour. Le soleil allait bientôt se coucher, il allait faire nuit, les hyènes sortiraient de leurs tanières. Je devais rentrer le plus vite possible. Je savais que j'allais rentrer. Mais quand, je ne sais pas. Seul le temps me le dira.

Il faisait nuit, j'avais très soif et je n'avais pas encore trouver de point d'eau où m'allaiter. Je me laissais croire que j'allais mourir de soif. Il fallait que je trouve un petit abris où y passer la nuit. Le temps commençait à se refroidir, ce qui me faisait le plus grand bien. La langue pendante, je laissais traîner mes pattes lorsque je marchais.

J'avais trouver une petite caverne au sec pour y dormir. Je me laissais tomber par terre. Mes yeux étaient lourd, et je finis par m'endormir...

Le lendemain, ce ne fus pas la soif, qui ne m'avait pas abandonner toute la nuit par ailleurs, mais la faim qui me faisait mal au ventre. Mon ventre gargouillait et je n'avais plus de force dans mes pattes. Hier, j'avais trop marché et mes coussinets saignaient. J'étais perdu au fin fond de la savane, où nul espoir n'était là. Mais moi, j'avais de l'espoir. Mes yeux avaient affinés un regard d'ardeur, de force et de courage.

Mes yeux se fermaient, étant trop fatigué. Je n'en pouvais plus, mes membres engourdis ne pouvaient plus bouger, mon ventre criait famine, j'avais soif.. Je me laissais endormir, croyant que mon âme était en train de partir vers les cieux.

Je me réveillai, face à un petit point d'eau et une gazelle morte à côté de moi. J'entendais à ma gauche les broussailles frémirent. Je tournai ma tête pour apercevoir le lion en question, mais il était déjà partit. On m'avait porté jusqu'ici. Qui était ce lion qui m'a sauver ? Je pourrais le remercier ! Infiniment ! Sans lui je ne serais pas là. Je remarquai que j'avais des toiles d’araignées sur mes pattes, en guise de bandage, pour mes coussinets. J'eus du baume au coeur et je me relevais. Mes pattes allaient mieux.

Je sortis des broussailles et je pus voir le bout de mon territoire. J'étais si proche que ça ? Merci lion inconnu.. Je me mis à courir aussi vite que je pus pour rentrer au camp et annoncer aux autres que je vais bien et que je suis rentrer.

Une fois arriver, tous le clan arrivait pour savoir de mes nouvelles. Tous s'était inquiété. C'est ça, le bonheur d'avoir de la famille qui, où que tu sois, pensera à toi. ...

(c) by Storm sur Epicode ne pas retirer le copyright